Recueil de citations
Ils disent de Mozart
«… Puis chez Thun, ou le petit Enfant de Salzbourg et Sa sœur jouèrent du clavecin. Le pauvre petit joue à merveille, c’est un Enfant Spirituel, vif, charmant, sa Sœur joue en maitre, et il lui applaudit.»
Journal tenu en français du Comte Karl Zinzendorf, 17 octobre 1762 (orthographe originale)
«Ce qui est incroyable, c’est de la voir jouer de tête pendant une heure de suite, et là s’abandonner à l’inspiration de son génie et à une foule d’idées ravissantes qu’il sait encore faire succéder les unes aux autres avec goût et sans confusion. […] Je ne désespère pas que cet enfant ne me fasse tourner la tête, si je l’entends encore souvent, il me fait concevoir qu’il est difficile de se garantir de la folie en voyant des prodiges.»
Correspondance littéraire, philosophique et critique [Baron Melchior Grimm], Paris 1er décembre 1763
«…..il est zu treuherzig peu actif, trop aisé à attraper, trop peu occupé des moyens, qui peuvent conduire à la fortune. ici pour percer, il faut être retors, entreprenant, audacieux. Je lui voudrais pour sa fortune la moitié moins de talent et le double plus d’entregent, et je n’en serais pas embarrassé.»
Baron Melchior Grimm à Leopold Mozart à Salzbourg, Paris 27 Juillet 1778 (15 ans plus tard)
«[…] C’est un petit prodige allemand qui est arrivé ces jours cy à Londres. Il execute et compose sur le champ les pièces les plus difficiles et les plus agréables sur le clavecin. C’est en ce genre le compositeur le plus éloquent et le plus profond. […] Tout Paris et toute la cour de France ont été enchantés de ce petit garçon.»
Claude Adrien Helvétius à Francis 10ème Comte de Huntingdon, Londres, fin avril 1764 (orthographe originale)
«Vous aurés vû avec autant de surprise que de plaisir, un enfant de neuf ans, toucher du clavecin comme les grands maîtres ; & ce qui vous aura encore plus étonné, c’est d’apprendre par des personnes dignes de foi, qu’il en touchoit déjà supérieurement il y a trois ans ; c’est de savoir que presque tout ce qu’il joue est de sa composition ; c’est d’avoir trouvé dans toutes ses piéces, & même dans ses fantaisies, ce caractère de force qui est le sceau du génie, cette varieté qui annonce le feu de l’imagination, & cet agrément qui prouve un goût sûr….»
Extrait du périodique de Lausanne « Aristide ou Le Citoyen », 11 octobre 1766 (orthographe originale)
«Mozart das größte musikalische Genie, das je gelebt hat. Wäre er vor mir in London gewesen, hätte es mir nichts mehr gebracht, dorthin zu gehen, denn nichts kann gegen Mozarts Kompositionen bestehen.»
Joseph Haydn
«Mozart ist der göttliche Mozart und wird es immer sein. Nicht nur ein Name, sondern ein himmlisches Genie, das auf die Erde kam, dreißig und einige Jahre blieb, und als er die Welt verließ, war sie neu, bereichert und durch seinen Besuch gesegnet.»
Leonard Bernstein
«Ich glaube an Gott, Mozart und Beethoven»
Richard Wagner
«Mozarts Musik ist ein unverdientes Geschenk an die Menschheit, in dem die Natur ein einmaliges, wahrscheinlich unwiederholbares –jedenfalls niemals wiederholtes Kunstwerk hervorgebracht hat.»
Wolfgang Hildesheimer
«Beethoven erreicht in manchen seiner Werke den Himmel, aber Mozart, der kommt von dort.»
Josef Krips, Dirigent
«Es ist zwar schade um ein so grosses Genie, aber wohl uns, dass er tot ist! Denn würde er länger gelebt haben, wahrlich, die Welt hätte uns kein Stück Brot mehr für unsere Kompositionen gegeben.»
Antonio Salieri
«Dieser Knabe wird uns alle vergessen machen.»
Johann Adolf Hasse,1699-1783, nachdem er Mozarts Asciano in Alba gehört hatte
«… Puis chez Thun, ou le petit Enfant de Salzbourg et Sa sœur jouèrent du clavecin. Le pauvre petit joue à merveille, c’est un Enfant Spirituel, vif, charmant, sa Sœur joue en maitre, et il lui applaudit.»
Journal tenu en français du Comte Karl Zinzendorf, 17 octobre 1762 (orthographe originale)
«Ce qui est incroyable, c’est de la voir jouer de tête pendant une heure de suite, et là s’abandonner à l’inspiration de son génie et à une foule d’idées ravissantes qu’il sait encore faire succéder les unes aux autres avec goût et sans confusion. […] Je ne désespère pas que cet enfant ne me fasse tourner la tête, si je l’entends encore souvent, il me fait concevoir qu’il est difficile de se garantir de la folie en voyant des prodiges.»
Correspondance littéraire, philosophique et critique [Baron Melchior Grimm], Paris 1er décembre 1763
«..il est zu treuherzig peu actif, trop aisé à attraper, trop peu occupé des moyens, qui puvent conduire à la fortune. ici pour percer, il faut être retors, entreprenant, audacieux. Je lui voudrais pour sa fortune la moitié moins de talent et le double plus d’entregent, et je n’en serais pas embarassé.»
Baron Melchior Grimm à Leopold Mozart à Salzbourg, Paris 27 Juillet 1778 (15 ans plus tard)
Und das sagt Mozart
(zitiert aus seinen Briefen)
«Ich hoffe nicht, dass es nötig ist zu sagen, dass mir an Salzburg sehr wenig und am Erzbischof gar nichts gelegen ist und ich auf beides scheiße.»
«Da der Tod der wahre Endzweck unseres Lebens ist, so habe ich mich mit diesem wahren, besten Freund des Menschen so bekannt gemacht, dass sein Bild allein nichts Schreckliches mehr für mich hat.»
Brief an seinen Vater
«Den Himmel zu erringen ist etwas Herrliches und Erhabenes, aber auch auf der lieben Erde ist es unvergleichlich schön. Darum lasst uns Menschen sein.»
«Die Leidenschaften, heftig oder nicht, müssen niemals bis zum Ekel ausgedrückt sein, und die Musik auch in der schaudervollsten Lage niemals das Ohr beleidigen, sondern doch dabei vergnügen, folglich allzeit Musik bleiben (über die Arie des Osmin in der „Entführung“)»
«Komponi(e)rt ist schon alles – aber geschrieben noch nicht.»
«Ein Mensch von superieurem Talent (welches ich mir selbst, ohne gottlos zu sein, nicht absprechen kann) wird schlecht, wenn er immer an dem nämlichen Orte bleibt.»
«Ich kann nicht poetisch schreiben, ich bin kein Dichter. Ich kann durchs Deuten und Pantomime meine Gesinnungen und Gedanken nicht ausdrücken. Ich kann es aber durch Töne; ich bin ein Musikus.»
Brief an den Vater zu dessen Geburtstag
«Man irrt, wenn man denkt, dass mir meine Kunst so leicht geworden ist. Es gibt nicht leicht einen berühmten Meister in der Musik, den ich nicht fleißig, oft mehrmals, studiert hatte.»
«Die Stille zwischen den Noten ist genauso wichtig wie die Noten selbst.»